En mars, on a changé d'heure.
En avril, on n'a pas changé de président.
Pendant ce temps, la banquise continue à fondre… Et nous, nous ne pouvons pas rester de glace devant un dérèglement qui devient si évident..
Il y a ce qu'on peut changer et ce sur quoi on ne peut pas agir. Fournir des ombrelles aux ours polaires ne servirait à rien ! Ce sont nos petits gestes au quotidien, même s'ils paraissent disproportionnés par rapport à l'immensité de la tâche à accomplir, qui peuvent laisser des traces pour que d'autres les suivent.
En mai, fais ce qu'il te plaît et pense à ce que tu peux changer !